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C'était comme vous le savez le 30 décembre. Jour de l'Aïd. Au détriment de l'avis de la communauté internationale, il a été pendu au petit matin à Bagdad.
Condamné au mois de novembre dernier, par un tribunal irakien mis en place par qui?... pour un massacre commis en 1982 sur 148 personnes...Petit palmarès aux vues de la suite non? c'est pas grand chose comparé aux 148 000 morts du génocide kurde.
Là n'est pas le propos. Le Raïs n'était pas un humaniste, ni un modèle de vertu, mais il me semble qu'on ne réprime pas la cruauté par la cruauté. La mort, même aussi primitive que celle par pendaison, ne doit être qu'une douce romance à côté d'une geôle irakienne à mon sens...
En prononçant le verdict, le tribunal d'une soi-disant démocratie en marche s'est révélée d'une bestialité n'ayant d'égale que celle du condamné.
Toujours est-il que même en ayant le noeud coulant autour du cou, Saddam n'apparaissait ni apeuré, ni rongé de remords. Sans doute le sort qui l'attendait, il l'avait déjà vu de trop près en ôtant la vie des autres.
Une page est tournée. Un dictateur est mort sous la sentence des anciens opprimés. Malgré les cris de la foule, on a tout de même pu entendre ses cervicales se briser. Il peut ainsi faire figure de martyr pour les extrèmistes de tous poils.
Condamné au mois de novembre dernier, par un tribunal irakien mis en place par qui?... pour un massacre commis en 1982 sur 148 personnes...Petit palmarès aux vues de la suite non? c'est pas grand chose comparé aux 148 000 morts du génocide kurde.
Là n'est pas le propos. Le Raïs n'était pas un humaniste, ni un modèle de vertu, mais il me semble qu'on ne réprime pas la cruauté par la cruauté. La mort, même aussi primitive que celle par pendaison, ne doit être qu'une douce romance à côté d'une geôle irakienne à mon sens...
En prononçant le verdict, le tribunal d'une soi-disant démocratie en marche s'est révélée d'une bestialité n'ayant d'égale que celle du condamné.
Toujours est-il que même en ayant le noeud coulant autour du cou, Saddam n'apparaissait ni apeuré, ni rongé de remords. Sans doute le sort qui l'attendait, il l'avait déjà vu de trop près en ôtant la vie des autres.
Une page est tournée. Un dictateur est mort sous la sentence des anciens opprimés. Malgré les cris de la foule, on a tout de même pu entendre ses cervicales se briser. Il peut ainsi faire figure de martyr pour les extrèmistes de tous poils.
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