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Rien à voir avec le contenu de vos menus des fètes....
Au cours d'une discussion avec la maman d'une amie, qui est passionnée d'éthologie et cavalière émérite ( normal, monitrice d'équitation...) j 'ai compris un truc qui m'a fait l'effet d'une révélation. Que je vais vous transmettre de ce pas afin d'éclairer votre vie à l'aube de l'an 2007. Rien que ça... Vous pourrez vous aussi remercier Hélène.
Certes, les chevaux sont herbivores. Jusque là, rien de nouveau. Ils brouttent, non pas connement comme peuvent le penser certains clients de boucherie chevaline, mais en alerte, à l'affût du moindre prédateur. Le cheval, en ce sens, ne peut et ne doit se projeter dans l'avenir. Déjà, neuronalement parlant, ce n'est pas possible. Il doit être toujours apte à pouvoir fuir au moindre signe de danger. Et puis, pour se nourrir, il n'a pas besoin de stratégie. De l'herbe, il en trouve à foison dans son milieu naturel. Il peut donc en quelque sorte, être insouciant de ce coté-là; même s'il doit constament être en éveil (merci le système sympathique?) pour ne pas se faire becter. Pour sa survie, le cheval se doit de vivre au moment PRESENT.
Passons à notre ami carnivore, par exemple, le lion- qui a mon avis n'a rien du félin et devrait être classé du côté canin, sans blague ça ressemble pas à un chat cette bète...- Même si dans son milieu, il ne rencontre pas souvent de cheval (melba) mais plutôt son cousin le zèbre; lui, il est obligé de penser sa chasse. Enfin, la lionne parce que Monsieur, à part faire le con avec les gones et se prélasser sous un arbre, que dalle. Donc, la lionne disais-je, doit élaborer une stratégie de capture fine. Généralement, finaude, elle appelle une ou deux copines histoire d'avoir plus de chances de chopper la proie, oh tiens, par exemple un zèbre. Et je ne sais pas si vous avez déjà vu ça, (moi oui je regarde souvent Planète) il y a d'abord une phase d'observation et puis y en a une qui le pourchasse et les deux autres qui le prennent à revers. Et là, paf adieu Marty le zèbre. Il a quand même tenter de fuir, hein, pas con, mais la supériorité numérique et la vélocité des adversaires étant ce qu'elles sont... Bon il perd pas non plus à chaque fois, heureusement pour la race. Bref, les carnivores, eux doivent avoir une capacité de projection, d'anticipation pour pouvoir rester en vie.
En gros, pour résumer, je me suis dit" bin c'est comme les humains, y en a des herbivores qui sont totalement dans l'instant, incapables de planifier l'avenir et ne le voulant surtout pas, et des carnivores qui eux, y sont obligés car c'est leur seule moyen de survivre."et vous vous êtes dans quel camp?
Notez, c'est pas forcément à entendre comme une guerre , dans Madagascar, Alex le lion et Marty le zèbre sont les meilleurs amis du monde de la jungle...
Au cours d'une discussion avec la maman d'une amie, qui est passionnée d'éthologie et cavalière émérite ( normal, monitrice d'équitation...) j 'ai compris un truc qui m'a fait l'effet d'une révélation. Que je vais vous transmettre de ce pas afin d'éclairer votre vie à l'aube de l'an 2007. Rien que ça... Vous pourrez vous aussi remercier Hélène.
Certes, les chevaux sont herbivores. Jusque là, rien de nouveau. Ils brouttent, non pas connement comme peuvent le penser certains clients de boucherie chevaline, mais en alerte, à l'affût du moindre prédateur. Le cheval, en ce sens, ne peut et ne doit se projeter dans l'avenir. Déjà, neuronalement parlant, ce n'est pas possible. Il doit être toujours apte à pouvoir fuir au moindre signe de danger. Et puis, pour se nourrir, il n'a pas besoin de stratégie. De l'herbe, il en trouve à foison dans son milieu naturel. Il peut donc en quelque sorte, être insouciant de ce coté-là; même s'il doit constament être en éveil (merci le système sympathique?) pour ne pas se faire becter. Pour sa survie, le cheval se doit de vivre au moment PRESENT.
Passons à notre ami carnivore, par exemple, le lion- qui a mon avis n'a rien du félin et devrait être classé du côté canin, sans blague ça ressemble pas à un chat cette bète...- Même si dans son milieu, il ne rencontre pas souvent de cheval (melba) mais plutôt son cousin le zèbre; lui, il est obligé de penser sa chasse. Enfin, la lionne parce que Monsieur, à part faire le con avec les gones et se prélasser sous un arbre, que dalle. Donc, la lionne disais-je, doit élaborer une stratégie de capture fine. Généralement, finaude, elle appelle une ou deux copines histoire d'avoir plus de chances de chopper la proie, oh tiens, par exemple un zèbre. Et je ne sais pas si vous avez déjà vu ça, (moi oui je regarde souvent Planète) il y a d'abord une phase d'observation et puis y en a une qui le pourchasse et les deux autres qui le prennent à revers. Et là, paf adieu Marty le zèbre. Il a quand même tenter de fuir, hein, pas con, mais la supériorité numérique et la vélocité des adversaires étant ce qu'elles sont... Bon il perd pas non plus à chaque fois, heureusement pour la race. Bref, les carnivores, eux doivent avoir une capacité de projection, d'anticipation pour pouvoir rester en vie.
En gros, pour résumer, je me suis dit" bin c'est comme les humains, y en a des herbivores qui sont totalement dans l'instant, incapables de planifier l'avenir et ne le voulant surtout pas, et des carnivores qui eux, y sont obligés car c'est leur seule moyen de survivre."et vous vous êtes dans quel camp?
Notez, c'est pas forcément à entendre comme une guerre , dans Madagascar, Alex le lion et Marty le zèbre sont les meilleurs amis du monde de la jungle...
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