chuis tellement contente (à prononcer avec l'accent québécois)

sinon c'est moins drôle bien sur.
A l'évidence, vous vous doutez bien que ce n'est pas ce p***** de m**** de virus de mes c******* de la c***** à ta mère qui m'a bouffé toutes mes données qui m'a mise à ce point en joie.
mais plutôt de remonter passer un superbe week end dans la région de mon adolescence, à Voiron. et j'y ai revu plein de gens que j'aimais, la vie nous avait éloigné et le Dieu du Ouèbe nous a permis de nous retrouver par le biais de Copains d'avant. C'est formidable de revoir ces personnes qui nous ont aidées à grandir, à traverser des épreuves, à faire les cons aussi et voir que finalement, certes le temps ne fait rien à l'affaire, mais qu'on est toujours aussi proches. Oui, le temps qui passe n'enlève rien à l'indéfectible tendresse qu'on peut éprouver.
c'est bon aussi de découvrir ceux que l'on a manqué à l'époque et qui sont devenus des gens biens, heureux.
et c'est le summum quand on se plonge dans quelque chose de chaud et délicieux, nouveau, mais pas si inhabituel en fin de compte. Mais il serait inopportun de m'étendre là dessus, ça serait tendre une perche bien trop facile et j'en entendrais bien trop longtemps parlé.
alors à ceux qui se reconnaitront, je vous aime!