4/27/2008

littérature: séance de rattrapage

Les temps sont durs. il faut toujours aller vite, ne pas perdre une seconde comme le dit la poétesse Lorie. on n'a plus forcément le temps de lire. d'avoir accès à la culture. Alors pour pallier à cela, voici ami lecteur le texte qui s'apprête à bouleverser la poésie contemporaine; "papillon de lumière" de cette grande artiste qu'est Cindy Sander .

Rien n’est plus fort qu’être en scène
Petite chenille j’rêvais déjà
Exister, montrer à ceux que j’aime
Ô Combien tout ça était inscrit en moi

Les filets qu’on me tend
Les pièges de ces gens
Les obstacles au-devant
J’passe au travers

Les mots lourds et blessants
Les langues de serpent
Ne sont qu’une suite de paroles en l’air

Papillon de lumière
Sous les projecteurs
Papillon de lumière
Revit dans vos cœurs
Papillon de lumière
Garde tout son mystère
Papillon de lumière
N’a plus rien d’éphémère.

Je me donne telle que je suis
Sans chercher à tricher face à vous
Même mes larmes ne sont que d’l'eau depuis
Qu’un beau jour je vous ai tout confié de moi

Les filets qu’on me tend
Les pièges de ces gens
Les obstacles au-devant
J’passe au travers

Les castings éprouvants
Les cris “au suivant”
Ne sont que des barrières à mes prières

Refrain

Cette énergie en moi
Qui brûle de partout
Je n’veux que la partager
Avec vous

NB: ce qui brûle de partout, ça peut être aussi une chaude-pisse.

3 commentaires:

Foxy a dit…

Merci beaucoup, maintenant j'ai la larme à l'oeil...

Anonyme a dit…

Nota bene = comme son nom l'indique, la chaude pisse, ça brûle par là où on fait pipi mademoiselle. Je vous passe les différences notables entre les anatomies féminine et masculine, que vous devez connaitre à défaut de maîtriser, à votre âge.
Quand ça brûle de partout, je pencherai plutôt pour une cuite et un endormissement lors d'une belle après midi ensoleillée, en maillot de bain sur une plage de sable fin. Bon d'accord je vous l'accorde, il y en a pas beaucoup en Lorraine. Mais vu qu'elle a un statut de star maintenant la cindy, elle doit faire comme les autres ; aller sécher sa couenne sur la côte azuréenne.

jess a dit…

ah oui c'est le coté face du feu au cul, c'est vrai...désolée.